Un duo d’artistes, Daniela Roman et Katia Lafitte explorent leurs itinérances, une dialectique entre voyages, subis ou souhaités, et un nécessaire enracinement.
Daniela Roman
Fuyant Bucarest en 1957, devenant apatride avant de s’établir en France, habitée par ce passé, Daniela Roman nous raconte les histoires d’itinérance de sa famille, allers-retours entre régions du monde, passé et présent, un terreau fertile pour cette artiste qui s’exprime à travers différents mediums : photographie, gravure et peinture.
Katia Lafitte
De l’objet à la trace… ancrage et mémoire, petites installations, hors échelle, qui parlent d’un passé imaginé ou retrouvé, maisons enlacées qui s’échappent, endormies, sur de grandes échasses ou reliquaires, traces d’un passé inventé.
Installations fragiles et constructions pérennes.
Son travail d’accumulation, d’assemblage, de détournement, parle de mémoire, de fragilité et de pérennité.